Depuis un an, les révolutionnaires sont présents régulièrement dans les quartiers du sud de Saint-Étienne pour tenir une table d’information, de discussion et d’échange.
Chaque semaine, cela leur permet de diffuser des mots d’ordre tels que « vie chère, logements insalubres, politiciens escrocs : on ne se laisse pas faire ! ». Ces tables permettent aussi de discuter avec les habitants des problèmes quotidiens, et surtout de comment les régler. Tous les dimanches, quand les révolutionnaires sont présents sur le marché, ils en profitent également pour diffuser des informations sur les luttes des peuples à l’international.
Récemment, ils ont spécialement parlé de la campagne pour la libération immédiate des prisonniers politiques révolutionnaires au Brésil, en solidarité avec la Ligue des Paysans Pauvres.
À chaque action, les activistes le répètent : tout s’obtient par la lutte, car cette société ne donnera jamais rien de sa propre initiative. À Saint-Étienne comme ailleurs, la situation se dégrade : la STAS (société de transports en commun) double le prix des amendes, le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté explose, les bailleurs louent des appartement aux multiples problèmes. Face à tout cela, les révolutionnaires appellent à s’organiser et à constituer un véritable Comité Populaire d’Entraide et de Solidarité.
À Saint-Étienne, les révolutionnaires sont présents dans les quartiers du sud de la ville !
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