L’année 2023, en France et au niveau mondial, a été une année particulièrement intense. Au niveau mondial, l’Amérique du Sud et le Sahel ont été des poudrières, les explosions se sont multipliées, à un niveau toujours plus intense. Le Moyen Orient n’a pas été épargné ; et le 7 octobre a été une défaite stratégique de portée mondiale pour l’impérialisme. Enfin, le sous-continent Indien, tout comme l’Asie dans son ensemble, sont secoués par la combativité des masses et plus particulièrement de la classe ouvrière. En France, les militants révolutionnaires n’ont pas été épargnés par les épreuves et se sont donnés à fond, comme il se doit, pour servir la classe et les masses. Bien sûr, nous pensons aux Glorieux Soulèvements de Juin, mais également à la grande bataille des retraites. La petite bourgeoisie n’a pas été en reste, avec les combats autour de Sainte-Soline mais également dans les facultés, où se recomposent petit à petit des noyaux combatifs. L’année nous semblait déjà particulièrement agitée, quand les vagues provoquées par le tremblement de terre du 7 octobre nous ont touchées. Et nous ne parlons même pas de luttes au quartier ou dans les syndicats, où la lutte est de plus en plus intense, ça a été symbolisé par le 53e congrès de la CGT, où une ligne « dure », a failli être élue.
Que promet 2024 ? L’année qui vient promet d’être au moins aussi intense. Bien sûr, rien n’est écrit à l’avance. Mais nous savons que partout où sont les révolutionnaires, des luttes éclaterons, car les masses n’attendent que ça. La troisième vague de la Révolution Prolétarienne mondiale avance dans le tiers-monde, et nul doute que les lumineux combats qui s’y déroulent, comme c’est le cas en Palestine, vont encore aiguiser la lutte des classes dans notre pays.
Alors, que doivent faire les révolutionnaires ?
Nous avons de nombreuses tâches. Mais le plus important, c’est de les réaliser en arborant l’optimisme. Le porter au plus haut. Nous, révolutionnaires, savons que cette époque n’est pas un fardeau, mais une chance. Les difficultés ne vont qu’avec les progrès de la Révolution. L’époque n’est pas sombre : elle est lumineuse ! Chaque avancée de la Réaction, n’est qu’une digue face aux vagues de la Révolution. Nous, révolutionnaires, sommes heureux, joyeux, rayonnants. Ce n’est pas une simple formule de style ; c’est une réalité. Sous l’impérialisme agonisant, il n’y a presque personne qui parvient à porter la joie que nous portons, nous, activistes révolutionnaires. Nous savons que l’histoire nous donnera raison. Nous savons que le capitalisme est condamné. Dans nos cœurs et dans nos actes, naît la société nouvelle ! Dans nos organisations, se construit un mode de vie libéré de l’aliénation, se construisent des rapports sociaux sains, humains et confiants. Bien sûr, notre chemin est pavé de difficultés. Mais nous devons célébrer les difficultés, les luttes de ligne, car nous avons la méthode pour résoudre toutes les difficultés, et nous le faisons, pas à pas.
Avec l’optimisme, nous devons continuer notre travail. Développer la presse révolutionnaire, diffuser Nouvelle Epoque mais aussi celle de nos camarades de La Cause du Peuple. Nous devons encourager le travail de masse, le travail politique dans les quartiers et dans les entreprises. Car les masses attendent les organisateurs pour lutter, elles attendent les révolutionnaires !
2024 sera une année de lutte de classe d’une intensité rare ! 2024 sera donc, immanquablement, une année de joie, d’optimisme, d’épanouissement pour tous les Révolutionnaires !
Célébrons 2024, célébrons nos organisations révolutionnaires, et surtout célébrons l’optimisme !